jeudi 18 avril 2013

Oeuvres de jeunesse : cours sur "modèle vivant"

De tout temps, j'ai beaucoup dessiné. C'est quelque chose qui m'a prit à la primaire et ne m'a jamais quitté. C'est en toute logique que j'ai choisie la filière L Arts Plastiques pour passer le baccalauréat. J'ai adoré cette période où je créais en format Raisin (A2).

Trois catégories de dessins en sont ressorties :
  • Les créations purement personnelles, expression d'un ressenti intérieur ou d'une simple envie ;
  • Les créations scolaires, en application d'un sujet à interpréter et à "illustrer";
  • Les études sur modèles vivants, lors des cours prit l'année de mes 16 ans.
Florilège...

Les cours de dessin sur "modèle vivant" :

 Études de pauses longues (20 à 30 minutes)





Études de pauses courtes (5min) , sur "modèle vivant"





Un peu de couleur...

 

Enfin de vraies vacances.

Il est 6h30 et je suis en vacances depuis lundi après-midi. De vraies vacances où je reste chez moi sans partir dans un long périple charentais avec mon mari, mais au contraire que je reste me chouchouter à la maison. Bizarrement ce chouchoutage est passé par l'accueil des enfants d'Alain (pour mémoire, de cinq et dix ans mes aînés), et ça s'est merveilleusement bien passé. Pour la première fois, je ne me suis pas mise cette pression monstre qui m'affolait et me liquéfiait jusque là, et je me sens mieux. Hier soir j'étais si émue à un moment, de me sentir membre à part entière de cette famille, que les larmes ont un peu débordé. Je dois dire que ça m'a fait du bien et je me suis sentie heureuse.

Nous étions cinq à la maison (les deux fils de mon mari et un conjoint) et je ne me suis pas sentie oppressée comme souvent.

Malheureusement les meilleures choses ont une fin, et même si mes congés ne finissent que lundi prochain, sur de nouveaux horaires de travail, les garçons partent ce jeudi, avec le soleil, d'ailleurs.
Il me restera mon chéri à chouchouter, et moi, bien entendu !
Jeudi, vendredi, samedi, dimanche...
Quatre jours rien que pour nous.

Enfin voilà, je suis heureuse, je crois.
Si ce n'était l'absence de nouvelles de Dore, tout serait (presque) parfait dans cette parenthèse.