mercredi 22 novembre 2017

Les chatons, c'est mignon

Début 2016, quand je vivais dans la résidence secondaire de mes parents, un petit chat de gouttière m'a adopté. Je l'avais appelé "Mr Mouche", parce qu'il était tigré sur le dos et moucheté sur les côtés. En plus il y avait une référence à une "grosse mouche" que j'ai connu... C'est à dire une beauceronne qui avait peur des tapettes à mouches et s'enfuyait dare-dare dès qu'on sortait ce genre d'accessoire, ce qui conduisait à l'appeler la grosse mouche, par taquinerie.
Bref.
Voici Mr.Mouche en pleine activité :
C'est super dur d'être un chat, vous vous rendez pas compte... Faut rentrer chez les gens sans prévenir en en profitant qu'ils aèrent et se trouver un coin peinard et bien moelleux pour faire la sieste. Sans rire, c'est pas une vie !

Mouche était affectueux mais un peu trouillard, et il m'a fallut pas mal de temps pour réussir à le caresser (et ce petit saligaud a rien trouvé de mieux que de me "marquer" comme étant "à lui" par un jet d'urine le jour où j'ai enfin réussi à le prendre sur mes genoux pour le caresser).
Bon, c'était le signe qu'il m'avait adoptée, mais quand même!

J'ai quelques autres photos de Mr.Mouche, mais pas tellement, parce que Monsieur a commencé à s'installer en juillet 2016 et qu'au mois d'octobre suivant, j'ai réemménagé chez moi, en appartement.

22 mars 2016
Mr. Mouche est plutôt sociable et est un peu chat-chien, du genre à suivre les humains qu'il aime bien dans leurs activités extérieurs. Plusieurs fois ça lui a joué des tours, genre se prendre un coup d'arrosoir sur la tête ou tomber dans la poubelle où mes parents stockent l'eau (d'habitude il y a le couvercle, sur lequel il faisait la sieste, mais ce jour là, j'avais ouvert le conteneur pour plonger les arrosoirs). J'ai entendu un gros "splash", me suis retournée et vu un chat trempé en train de me regarder avec un air de martyr. Il était ressortit illico-presto de son bain surprise, et n'avait même pas encore eu le temps de s'essorer. Comme je suis une chic fille, j'ai couru attraper un chiffon pour sécher son altesse...

Toujours est-il que Mr.Mouche s'est trouvé une dulcinée. Elle est devenue "Mouchette", même si elle n'est pas mouchetée... et à force d'assiduités (et d'hormones en ébullition), Mouchette s'est retrouvée pleine.

Et qui que voilà, la semaine 43 de 2017?
Ben de chatons, en toute logique. Deux, pour être exacte.


Quand c'est tout pitit minuscule, forcément, ça pense qu'à manger et dormir. Maman Mouchette bien installée dans un carton (ma maman est très prévenante, et puis on est habitués aux chatons dans la famille).


Bon ça, c'était le 26 octobre 2017. Les bouboules de poils affamées devaient avoir trois ou quatre jours maximum. Mais ça grandit vite, bien sûr.
La preuve en images, un mois après :


Vi vi vi... les chatons, c'est mignon. Je me fais de la ronron-thérapie. Ils ont déjà leur petit caractère : l'explorateur "même pas peur" et "Maman t'es où, j'ai peur". L'explorateur aime déjà les papouilles et se faire caresser, tandis que l'autre s’aplatit comme une crêpe quand on l'approche.

Galerie de photos :

Z'êtes observés, les gars...

 Deux bestioles en herbe, deux styles. Un petit explorateur téméraire et un plus axé sur la prudence, on s'éloigne pas trop du nid, elle est où, môman?

À gauche version téméraire, à droite version prudence avant tout.

Super explorateur !

Môman !!!!
Après les avoir sortis du carton (abrité par un bout de tissu sombre, qui fait un nid très très douillet pour tout le monde) et laissé gambader, je leur ai délicatement fait rejoindre leurs appartements (histoire qu'ils aillent pas se perdre). Autant il y en avait un qui avait hâte de retrouver la chaleur de Mouchette, autant l'autre aurait bien continué à explorer le vaste monde de la chambre à coucher...
Retour au bercail

Tentative d'évasion!!!
Finalement, on est bien, là, détendus des moustaches

vendredi 17 novembre 2017

Quoi de neuf sous le soleil (levant)?


Alors, quoi de neuf à la mi novembre de cette année 2017?

Pour commencer, les nouvelles les moins cools.

- J'ai attaqué (ou été attaquée, pour être plus exacte) ma cure annuelle d'infections respiratoires avec une angine virale, qui c'est transformée en rhinopharyngite. La mauvaise blague a commencé environ le 30 octobre et je commence à peine à arrêter de tousser.
Bonne nouvelle quand même : visiblement, contrairement à l'an dernier j'ai réussi à enrayer la bronchite qui n'est donc pas devenue asthmatiforme. Or j'avais fais quatre bronchites asthmatiforme l'an dernier et le moins que je puisse dire, c'est que c'est vraiment pénible.

- Dans "l'événementiel" agaçant, la succession de mon mari est toujours au point mort.
C'est agaçant. J'ai été sympa, j'ai fais preuve de bonne volonté (par exemple en payant des factures qui pourtant étaient dans l'indivision successorale), mais maintenant ça va faire 15 mois que mon époux est décédé et que les deux autres héritiers ont... disparus!🔍🔬
Mais relativisons : j'ai pris une avocate et maintenant, c'est elle qui gère le dossier.
Moi, j'attends juste que ça aboutisse... Dans la mesure où j'ai toujours fais preuve de bonne volonté, je suis très confiante. À priori, en dehors des lenteurs administratives dues à la surcharge des tribunaux à notre époque, ben... on change de notaire et on partage tout comme la loi le prévoit. Fin de l'histoire.
Nous venons de lancer les assignations à comparaître devant le tribunal de grande instance, contre les deux autres héritiers (ce qui est apparu comme étant le seul moyen sensé de débloquer la situation).
Avec un timing parfait, j'ai reçu (avec un grand étonnement) une convocation pour une audience devant la Cour d'Appel de Bordeaux pour le mois prochain.
L'appel concerne un jugement de la juge des tutelles d'Angoulême de décembre 2016, dont je n'avais jamais entendu parler, vu qu'à l'époque, j'étais encore majeur protégé. Bizarrement, je suis à peu près convaincue que c'est l'ancien tuteur de mon mari, qui voudrait toucher ses honoraires... mais je n'en sais rien en fait. Je laisse mon avocate gérer. Elle est là pour ça.

Beaucoup plus cool, je me sens enfin capable de revenir à l'emploi, après presque quatre ans hors jeu (je n'ai pas été inactive pour autant, puisque j'ai passé une partie de ce temps à aider mon mari, puis à me remettre de mon burnout de l'aidant, et ensuite j'ai aidé par-ci par-là des gens).

Comme ma licence de droit ne me sert à rien d'un point de vue qualifications professionnelles (il faut être clair : une licence universitaire générale, c'est "diplômant", mais ça n'apporte aucune compétence particulière), je fais le choix d'entrer en formation pour être secrétaire médico-sociale.
Je dois faire un stage Pôle Emploi de "PMSMP" (période de mise en situation de milieu professionnel) pour valider ce projet, histoire qu'on soit sûrs que c'est bien ce que je veux faire comme travail (vi vi vi... même que si je n'étais pas entrée à la faculté de droit en 2004, mon intention première était de passer un BTS d'assistante de direction...).
Normalement je devrais faire ce stage courant décembre 2017 tandis que la formation commence fin janvier 2018. Ensuite, ce sera 1022 heures de formation (8 mois), dont 210 heures de stage (soit 6 semaines).

En dehors de ça ?

Ben... la vie quoi!!!