dimanche 21 janvier 2018

Nuit de la lecture 2018...

Je suis un peu au creux de la vague, ces temps ci. Du mal à me concentrer, une organisation totalement foutraque et les nerfs qui lâchent. Quoi de mieux que sortir un peu?
Le 20 janvier 2018, à travers la France entière, c'était la 2éme nuit de la lecture, avec diverses animations au programme.

Une sortie OVS culturelle, tient, ça devrait me changer...
http://angouleme.onvasortir.com/

Je suis arrivée à la bourre et en plus si j'avais mieux connu le programme, je serais surement arrivée bien plus tôt, il y avait des choses qui m’auraient intéressée à la librairie Cosmopolite... Notamment une intervention sur la dyslexie (je rappelle que je fais de la dysorthographie quand je suis très stressée, en particulier lors des examens à l'université).

Petit tour visuel, parce que je suis paresseuse...
Le programme, un peu flou, un peu faux...

Une cantatrice dont je n'ai pas retenu le nom...

Cantatrice, pianiste et Mr le directeur de la librairie Cosmopolite d'Angoulême.

La Chorale des petits chanteurs à la gueule de bois (rock'n roll!)


De l'intérêt d'adapter des romans en œuvres graphiques...

Présence de l'équipe locale de France 3
La sortie était sympa, même si je me suis sentie très très anxieuse. Pendant le buffet, je ne savais pas sur quel pied danser. J'ai adoré les résultats du petit "concours de slam", et surtout le texte sur Simone Veil, qui m'a donné les larmes aux yeux.
J'ai aussi beaucoup aimé le concert (effectivement un peu bordélique, mais super...).
Après... j'ai essayé de discuter avec des membres de la chorale, mais je ne savais pas trop quoi dire et malgré mon envie de dialogue, mon anxiété est devenue très, très, envahissante.

À 22h15 environ, alors que le gâteau au chocolat m'a fait... fuir.
Retour chez moi.

J'étais épuisée nerveusement et une partie de moi était submergée par la tristesse sans que je comprenne bien pourquoi.
Peu importe.

Bonus :


Et re-bonus (je sais où je suis...1/4 de seconde) 😉

mardi 16 janvier 2018

"Ne me puni pas si je vais mal"

"Ne me puni pas si je vais mal."
💢
Une phrase qui peut sembler absurde et ridicule.
Pourtant je l'ai sortie (non sans mal) à mon copain.
😬
Depuis quand serait-ce une faute que d'être en détresse psychologique ?
Pour moi, c'est malheureusement évident.

Certaines personnes pensent (et ne manquent pas de partager leur point de vue sur la question) que les troubles psychiques sont, avant tout, une question de volonté. Partant de là, si elles ont affaire à des anxieux ou des dépressifs, elles vont être facilement enclines à juger que ces troubles ressortent, en quelque sorte, de la responsabilité de ceux qui en souffrent. En effet, selon une vision pareille des choses, si les "malades" faisaient preuve de davantage de "volonté", ils iraient forcément mieux.
Avec un tel raisonnement, de victime (d'un trouble psychique), on passe au statut de coupable.
Or on punit les coupables, c'est bien connu.
😒
Ces personnes, qui voient dans les malades de troubles anxieux divers des gens responsables de leurs propres maux sont bien souvent persuadées qu'anxieux et dépressifs sont avant tout des faibles.
Quant à elles, elles ont "de la volonté" et un caractère bien forgé.
Ces personnes "détiennent" leurs "vérités".

Or, au cours d'une bonne décennie j'ai côtoyé et cohabité avec des personnes de cette "trempe".
Imbues d'elles-mêmes, persuadées que, non seulement je ne faisais pas assez d'efforts contre mes perceptions et émotions négatives mais que,surtout, je m'y complaisais.
En effet il semblerait que l'aspect généralisé et pérenne de mon malaise psychologique ne soit aux yeux de certains, qu'un subterfuge destiné à être plainte et faire l'objet d'une attention accrue.

Si vous faites partie de ces gens là, je ne vous envie pas. En effet, si un jour vous vous retrouvez confronté à un malaise de nature psychique, la lutte risque de s'avérer difficile. Pas impossible ni ingérable, mais compliquée.

Je n'ai pas choisi de développer des troubles anxieux sévères.
Je n'ai pas choisi de souffrir.
Je n'aime pas vraiment étaler mes affects à mon entourage.
Les professionnels sont là pour ça. Ceux là mêmes que les "détenteurs de vérités" désignent parfois comme des "charlatans".
Je préfère vraiment me confier et être accompagnée et soutenue par des gens formés pour ça, plutôt qu'empoisonner la vie de ma famille, amis et connaissances...

Ce qui est fou, sans mauvais jeu de mot, c'est que les tenants de la "volonté" sont souvent réfractaires à l'idée que leurs proches "aillent mal". Il faut comprendre que leur propre volonté omnipotente devrait préserver les autres de ce genre de "travers". Aussi quand on commence à aller tellement mal qu'on fait la chose la plus logique qui soit, et qu'on consulte des professionnels du secteur (des charlatans, donc), la pilule est parfois difficile à avaler.
Ils l'acceptent parfois. À contrecœur.

Remplis de foi en la force de la volonté, ces personnes sont toxiques pour les personnes souffrant de troubles psychiques. Ce n'est pas peu dire qu'ils font parfois littéralement n'importe quoi vis-à-vis de leurs proches en souffrance.

Parfois, même avec une prise en charge adaptée, les proches malades vivent une brève accalmie, voire ne voient aucune amélioration, voire même, une aggravation des troubles.
Les tenants de la volonté tiennent généralement cela comme une preuve du grand charlatanisme des psychiatres et psychologues. Ceci sans tenir compte du fait qu'ils imposent souvent une telle pression à la personne souffrante, que celle-ci se retrouve déchirée entre le désir d'aller mieux et cette source supplémentaire d'angoisses.
Sans compter les incitations à arrêter les traitements, qui peuvent être de véritables catastrophes dans un parcours thérapeutique. Les syndromes de manque (benzodiazépines) ou d'arrêt (anti-dépresseurs) sont des choses très perturbantes... L'arrêt de neuroleptiques (prescrits aux patients psychotiques) est bien pire.
Pourquoi de tels arrêts dans les traitements et prises en charges?

Parce que dès qu'une amélioration se fait sentir, les "volontaristes" pressent leurs proches "coupables d'être malades" d'arrêter traitements et thérapies. En effet, selon eux, une fois l'amélioration de base amorcée, la sacro-sainte "volonté" devrait alors suffire à tout un chacun pour "remonter la pente".
Malheureusement, les troubles chroniques ne fonctionnent pas comme ça.
Qu'il s'agisse de névroses ou de psychoses.
J'ai toujours été inquiète et anxieuse, d'aussi loin que remontent mes souvenirs.
Croire que je pourrais guérir serait illusoire.
Je peux trouver un équilibre satisfaisant et pérenne, à condition de respecter mes besoins.
Mes besoins me sont spécifiques, parce-que je suis unique. Ils sont susceptibles d'évoluer dans le temps, parce-que l'esprit humain est en mouvement.
Les gens changent.
Je change, j'évolue.

J'ai connu des périodes où j'allais bien.
Vraiment bien.

Ces derniers mois, je traverse des choses qui me déstabilisent vraiment et m'amènent à revoir ma façon de gérer les choses.

Au printemps 2016 j'avais fais le choix d'arrêter la paroxétine (générique du Deroxat).
Aujourd'hui, je souhaiterais être remise sous escitalopram (générique du Seroplex).
Les deux sont des antidépresseurs, je précise.
Il s'agit des molécules de première intention dans le traitement de fond des troubles anxieux généralisés.

Je prends actuellement du Prazépam, qui est une benzodiazépine à visée anxiolytique,  mais ce n'est pas un traitement de fond adapté à ma pathologie.
En outre les benzodiazépines altèrent notablement le bon fonctionnement de la mémoire  (y compris la concentration).

Bref. Contrairement à ce que des obsédés de la "volonté" ont essayé de me faire croire à une certaine époque, pour gérer mes troubles anxieux, même en ayant une attitude volontaire et en faisant preuve d'une réelle implication, l'appui de professionnels de santé reste très important.
Par ailleurs, quand les choses filent vers la chute libre, les médicaments restent utiles, à condition qu'ils soient bien choisis et qu'un suivi adéquat accompagne la prescription.

Cependant, prendre un antidépresseur ne fait pas tout.
Croire que tout va aller mieux parce-que on avale 10 à 20mg d'une substance ne fait pas voir la vie en rose. Par contre, ça aide généralement à sortir le parachute et arrêter de tomber. Le but c'est de se remettre sur les rails, pas de planer.

Je vais aller mieux.
Pour moi.
Pour me sentir bien avec les autres, aussi.
😅

dimanche 7 janvier 2018

Peur : Alerte rouge risque de submersion

7h30
Je me réveille submergée par un sentiment d'angoisse.

Est-ce la peur qui m'accompagne dans l'éveil ou est-ce qu'elle attend, tapie, que je prenne seulement conscience qu'elle est là?

Je sais très bien que ces derniers mois, je me suis efforcée de la tenir à distance, de l'ignorer, cette peur envahissante, rationalisée malgré son caractère irrationnel, terrifiante et dévastatrice.

Elle n'est pas nouvelle dans mon univers.
Elle et moi nous nous affrontons depuis toujours.
Elle était déjà là avant que j'entre à la maternelle.
Sans avoir les mots pour le dire, j'avais peur d'être dés-aimée, abandonnée, j'avais peur de ne pas faire les choses comme je l'aurais du, j'avais peur de ne pas être comme il aurait fallut que je soi. 

J'ai les mêmes peurs qu'à tous mes âges : j'ai peur de ne pas savoir être, j'ai peur de vivre et j'en ai terriblement honte.

J'ai peur de vivre aux crochets des autres et de les dégouter de moi à force de trop leur en demander.

Ça a été si facile de me laisser "prendre en charge" par quelqu'un pendant près de dix ans.
Mais tellement minable. Et injuste. Quand il a commencé à s’effondrer, j'en ai tiré une force nouvelle, à devoir gérer les choses, puis je me suis effondrée avec lui.

Je me suis écartée, j'ai pris conscience de l'emprise que je l'avais laissé exercer sur moi et je me suis éloignée. J'ai remontée la pente, j'ai repris confiance en moi, j'ai écouté les gens qui me disaient de belles choses sur mes capacités. Des choses vraies.

Pourtant voilà que je me retrouve à nouveau à angoisser à petit feu, terrorisée par des moulins à vents.

J'essaie de reprendre pied, de sortir de l'ouragan.
Relativiser.
Prioriser les choses.
Être dans le présent avant de me focaliser sur l'avenir.

Je constate avec amertume que j'ai repris mes sales habitudes : j'ai dissimulé aux autres mes angoisses pourtant de plus en plus envahissantes en espérant qu'elles ne se voient pas, en espérant qu'elles se taisent et que tout aille mieux. En faisant ça j'ai laissée la peur prendre le dessus, s'insinuer partout dans mon esprit.

Stop!
Respirer.😌😔

Relativiser.
Laisser le passé derrière moi.
Ne pas me focaliser sur des problèmes que je ne peux pas résoudre.
Vivre le présent.
Avoir confiance dans mon futur.
 
Organiser les choses, une étape après l'autre.
Définir des priorités.

Ça a l'air simple, écrit comme ça.
Ça me terrifie.

J'ai accepté de reprendre conscience de mon angoisse et de la reconnaître en toute franchise.
C'est un bon début, je pense.

Demain je vois une nouvelle thérapeute.
Elle pratique les thérapies comportementales et cognitives.
Mon souci d'habiletés sociales est relativement secondaire pour l'instant.
L'urgence est de gérer mon angoisse.

samedi 6 janvier 2018

2018

Il est d'usage de souhaiter une bonne année.
Bonne année 2018 donc.
Moi, je commence sur les chapeaux de roue:
  • Je ne sais toujours pas si oui ou non je vais entrer en formation le 28 janvier...
  • La succession de mon mari n'est toujours pas réglée plus de 16 mois après son décès (procédure judiciaire en cours)...
  • Je veux déménager, parce que habiter seule un T3 bis de 90m² où j'ai vécu six des pires mois de ma vie entre septembre 2014 et mars 2015, avec tous les mauvais souvenirs qui y sont rattachés, on fait mieux pour le moral...
  • Tout ça fait beaucoup de choses à gérer et ma logistique personnelle est un très gros problème
  • Je suis en train de perdre le peu d'équilibre que j'avais réussi à trouver et ces temps ci, c'est rare qu'un jour passe sans que je m'interroge au moins une fois sur l'intérêt de continuer à vivre. Je sais, c'est nul, mais c'est comme ça.
Bref, je pars en vrille.

J'aimerais tellement savoir sous quelle échéance je peux m'attendre à voir cette succession être enfin réglée.
Indéniablement, vivre écartelée entre deux vies, c'est mauvais pour la santé.
L'anxiété générée par l'attente interminable du droit à passer à autre chose me mine énormément.

J'ai refusé de regarder la réalité en face pendant très longtemps, mais habiter un endroit que mon mari m'avait demandé de choisir "pour quand il ne serait plus là" (chose que nous n'avons pas eu le bon sens de faire inscrire dans l'acte d'achat), avec toute la charge émotionnelle des meubles, des objets ou des traces de sa longue agonie (que je n'ai pas été capable de supporter), c'est profondément malsain.

J'ai voulu "revenir chez moi" en octobre 2016 parce que je ne supportais plus de squatter la résidence secondaire de mes parents, mais aussi parce que j'avais l'amer sentiment de m'être fais chasser de l'appartement en mars 2015. Je dois cependant regarder la vérité en face: j'ai fais le choix de ne pas revenir vivre avec mon mari, le 03 avril 2015, quand je suis sortie d'hospitalisation.
Je ne savais pas où j'allais, mais je savais au moins ça.

J'étais dévastée. Je voulais son bien, mais je pensais que sa meilleure place était en USLD et je n'ai pas osé le lui imposer. Je me suis éloignée en pensant me protéger.

Si j'avais été moins faible, je n'aurais tout simplement jamais accepté d'aller vivre avec Alain en 2004. Nous nous fréquentions, mais je le sentais bien plus enflammé que moi et une partie de moi ne souhaitait pas de rapprochement trop réel. Quand nous parlions de notre relation, nous disions que, même s'il se séparait de sa concubine, on préférait rester "chacun chez soi". Il disait être d'accord avec ça. Mais il m'a tout fait oublier de ces belles résolutions quand elle a effectivement décidé de le quitter. Il s'est empressé de m'appeler pour m'inviter à venir vivre chez lui, ce que j'ai fais.

Il me faisait me sentir forte et exceptionnelle à cette époque.

Quand j'ai commencé à sentir que je ne l'aimais pas vraiment, j'avais commencé à perdre à nouveau confiance en moi, mais je pensais qu'il représentait ma seule chance d'avoir une vie "normale". Un part de moi essayait de me convaincre que jamais je ne pourrais trouver d'autre homme qui m'aimerait comme lui. Sauf que je ne suis pas vraiment sûre que ce qui nous liait était de l'amour.

J'aurais du parler de mes doutes à tous les gens que je connaissais, à l'époque. À ma famille, à mes rares copines de la fac de droit.
J'étais encore en première année.
Au lieu de ça, j'ai fais semblant.

Alain m'a apprit à faire semblant que tout allait bien alors que ça n'était pas le cas.
J'avais commencé à me défaire de ce travers mis en place durant des années comme moyen de survie, mais il m'a incité à affirmer sans arrêt que j'étais "en pleine forme" et à cacher mes émotions réelles.

Ma vie avec Alain a été une succession d'erreurs commises dans une apparente béatitude.
La vérité était que j'avais peur d'affronter seule la vie et qu'il était la seule branche à laquelle j'avais trouvé à m'accrocher. Je l'ai laissé me pourrir la vie pour ne pas avoir à affronter la mienne.

Tors partagés.

Alors qu'importe la succession...
Je ne lâcherais pas l'affaire : après tout, c'est lui qui a voulu qu'on conclue un PACS (fiscalement c'était avantageux: j'étais étudiante, je ne gagnais pas un sous) et c'est lui aussi qui a voulu qu'on se marie (il ne m'a pas demandée en mariage, il a dit qu'on devait se marier, dans le bureau d'un cardiologue qui venait de lui annoncer qu'on devait l'opérer du cœur).

Grâce à lui, j'ai une petite rente qui m'est versée tous les mois.
C'est pas le Pérou, mais ça aide davantage que l'allocation adulte handicapé que je touchais avant.

Mais il n'est plus question que je me rende malade pour des histoires relatives à ce mariage pourri et ses conséquences.

C'est pourtant comme ça qu'avait commencé ce billet.

En effet, en rangeant la paperasse en vue de mon futur déménagement, c'est justement des questions de cet ordre qui se sont mises en travers de ma gorge. Déménager me permettra de ne plus devoir payer les charges et les impôts liés à l'appartement, qui iront alors grossir le passif de la succession.
Je vivrais enfin ma vie, ailleurs.
Je voulais me faire une idée du cout mensuel d'occupation de l'appartement.

Résolue à quitter cet endroit, j'ai récemment commencé à ranger les papiers de mon mari, les séparant des miens. Le hic c'est que quand on fait le tri dans les papiers d'une personne décédée, on trouve des choses parfois désagréables (et pourquoi j'ai fourré mon nez la dedans, aussi?!?).

J'ai trouvé par hasard les avenants de changement de bénéficiaire de plusieurs assurances vie de mon défunt mari.
Cinq en tout.
Composées au moment du décès de mon mari de plus de 45.000€.
C'est con mais je me suis pris une grosse baffe émotionnelle.
La raison est très simple : Alain avait tenu à m'inscrire comme bénéficiaire de ces contrats en 2008, après notre mariage, alors que nous attendions que soit fixée la date de son opération du cœur.
Mais je n'ai bien entendu pas touché un centime au moment de son décès.
Les avenants dataient de fin juillet 2015.
Mon mari a été placé sous sauvegarde de justice début aout 2015.

Trouver ces papiers m'a fait un choc et je me suis rendue malade, psychologiquement parlant, avant de retrouver mes esprits.

Je. M'en. Fous.
Je m'en fous du pognon.
Je voudrais que la succession soit liquidée. Point.

Bien sûr que ça m'agace que les enfants de mon mari aient d'ors et déjà touché plus de 100.000€ chacun et que moi, on me dise que les avoirs que j'avais sur mes comptes personnels au moment du décès de mon mari entraient dans la communauté et donc dans la succession... mais de toute façon je n'en sortirais pas plus pauvre que je n'y suis entrée.
C'est la seule chose qui compte.
En plus j'ai fais tirer le relevé de mes comptes à la veille de mon mariage, donc il faut retirer cette somme du tout. Ainsi que les prestations sociales qui m'ont été versées nominativement.

Bref.
Je dois passer à autre chose.
Ça se joue devant le tribunal, maintenant tout ça, donc on positive.
Et hop! un souci en moins.

Ce que je cherchais à la base, c'était de savoir à combien mon occupation de l'appartement me revient par an à peu près...
Taxe d'habitation : 1240€ (qui devrait passer à 870€ en 2018)
Taxe foncière : 2.200€
Si on y ajoute
Charges de copropriété : 2.000€
Assurance habitation : 336€

Ça me fait à peu près 450€ de dépenses mensuelles, et ça me permet de mieux appréhender la comparaison avec une future location...

Pour le moment, il faut que je dégage tout ce que je ne veux plus voir.
Dans l'appartement et dans ma vie tout court.