Je songe beaucoup à mourir, ces temps ci.
Je ne suis pas suicidaire.
Je sais que je ne passerais pas à l'action.
Il n'y a que sous Fluoxétine que j'ai jamais faillis le faire.
Mais je songe beaucoup à mourir, ces temps ci. Et depuis toujours.
La plupart des gens ignore ce que c'est que d'être une personne comme moi.
Je ne tire aucun plaisir de m'interroger en permanence sur mon existence et les raisons de tout ça.
Je ne tire aucun plaisir à avoir mon corps qui me trahit en permanence.
Je ne tire aucun plaisir de perdre parfois totalement le contrôle lorsque j'exprime mes ressentis face aux autres.
Je ne tire aucun plaisir de voir dans les autres des défauts, des incohérences, de me projeter dans les difficultés qu'ils peuvent avoir, dans les problèmes qu'ils ont pu ou vont pouvoir affronter.
Je ne suis pas omnisciente.
Je ressens tout et je ressens trop, et ça m'envahit, ça me submerge et m'emporte, et me déchiquète de l'intérieur. Je ne suis qu'un amas de débris qui s'en va dans les airs, dans les flots, dans le vide.
Je suis parfois certaine d'avoir droit au bonheur, et à d'autres moments je suis tout aussi certaine que jamais je n'aurais ce privilège, ce simple droit humain, de ne pas être malheureuse.
Les récents événements de ma vie m'ont fait perdre en moins de deux jours deux êtres chers.
Je n'étais faite pour être aux cotés ni de l'un, ni de l'autre, et je le regrette tout aussi profondément.
J'ai peur, je suis terrorisée à l'idée de ne jamais pouvoir aimer et être aimée.
Ma vie est douloureuse.
Ma vie n'est que 34 ans d'une douleur plus ou moins intense. Cette douleur de ne pas avoir de ne pas avoir de place dans le monde. La douleur de ne pas avoir d'amis. La douleur de na pas savoir où je vais. Ma vie n'est qu'obscurité.
Je ne veux pas mourir, mais je songe souvent à la mort.
Je voudrais tellement que tout s'arrête.
Je voudrais tellement être différente.
Je voudrais tellement être normal.
Je n'ai rien d'admirable ou de réussi, je ne suis qu'une chose ratée, malformée, je hais mes sens, je hais mon esprit, je me déteste.
Je voudrais tellement ne plus avoir avoir à faire face à ce monde.
Je voudrais tellement être en paix.
J'ai parfois l'impression que je ne serais jamais capable de laisser qui que ce soit m'aimer vraiment, parce que je m'aime si peu...
J'aimerais tant que quelqu'un puisse me dire en toute sincérité, et en sachant parfaitement de quoi il parle, qu'il m'aime telle que je suis.
Cela n'arrivera pas tant que je ne comprendrais pas.
Mais comment comprendre ? Voilà des décennies que je cherche, sans trouver.
Je voudrais tellement mourir.
Voilà plus de 20 ans maintenant, que je voudrais mourir.
J'étais au collège, la première fois que j'y ai songé.
J'ai peur de la maladie et de la souffrance physique, bien que je m'y sois habituée. Mon anxiété me cause tant de souffrances physiques que de douleurs morales.
La vie est injuste.
Je n'ai jamais souhaité de mal mal à personne, je n'ai jamais voulu que personne souffre, je ne comprends pas la logique de tout ça, la cohérence. Pourquoi est-ce que j'ai mal, sans cesse, encore et encore ?
C'est comme si chaque fois que j'arrive à me relever, quelque chose m’assénait un nouveau coup dans le dos, encore, et encore, et encore, et encore, pour le reste de ma vie.
Pourtant je continue de ne pas vouloir me tuer.
C'est tellement douloureux et insupportable.
J'ai parfois le sentiment que ma vie n'aboutira jamais à rien, que je resterais à jamais dans ce trou, profond, si profond...
Je sais bien que dans quelques temps, j'aurais oublié ce trou.
Ma vie est une foutue montagne russe. Mes émotions, si nombreuses, si envahissantes et invasives peuvent aussi être étourdissantes de beauté, d'amour, de douceur et de joie.
Je sais que je ressens les choses d'une manière généralement disproportionnée.
La connaissance de ce phénomène n'empêchant en rien celui-ci.
L'envie de mourir est en train de passer.
Écrire m'apaise.
Je sais que ma mère lira ceci.
Je ne veux pas que tu sois triste maman.
Ce n'est que moi, maman.
C'est comme ça que je suis maman.
J'ai tellement mal, maman.
Ma vie est parfois un rêve, maman, mais tellement souvent un cauchemars.
J'en ai tellement marre.
Demain, peut être, j'aurais oublié...
Je t'aime, maman.
À force de me balancer derrière mon clavier, ça va mieux, déjà.
La tempête s'éloigne. Je vais aller prendre une douche chaude et essayer de dormir.
Envie de profiter de la vie, de partager des émotions, d'écrire et décrire ce qui fait partie de moi, tout ça pour mieux avancer, aller vers l'avenir, vivre.
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mercredi 24 août 2016
samedi 23 avril 2016
Retour chez ma psychiatre... Tout va bien
Dans plusieurs de mes précédents articles, j'avais décris mes sentiments concernant ma psychiatre, lorsque j'ai essayé d'évoquer les TED (Troubles Envahissants du Développement) avec elle, à un "entre deux portes"...
Finalement, mon rendez vous de ce mardi 19 avril s'est très bien passé.
Elle ne pense pas que je présente de TED ni que j'ai un éventuel TSA (Trouble du Spectre Autistique). Et donc pas de syndrome d'Asperger.
Mais elle a en revanche bien compris l'importance que les choses avaient pour moi et a donc appelé pour moi le Centre Expert Autisme Adultes de Niort pour moi, m'a fourni la liste des choses à leur faire parvenir et l'adresse où envoyer le tout.
Certes elle ne m'a pas fait de courrier, mais elle n'est pas fermée.
Son diagnostic me concernant serait "Troubles de l'attachement".
Moui. Mais non.
Il faudra que nous en discutions, car ça fait 10 ans que j'ai moi même exclus les troubles de l'attachement de mon tableau diagnostic...
J'aime très fort mes deux parents, ainsi que ma sœur.
J'ai toujours cherché à être proche de mes parents, que ce soit de mon père ou de ma mère. J'aimais peu le contact "non maîtrisé" avec les autres et n'appréciais pas trop les câlins, mais malgré tout je suis très attachée à ma mère et je souffre beaucoup des incompréhensions mutuelles que nous avons visiblement développé au fil du temps.
Je ne sais pas quel était mon comportement au juste, avant 3 ans. C'est vague.
Je n'ai pas le souvenir d'avoir refusé d'être touchée. J'aimais beaucoup que maman prenne soin de mes cheveux, que nous prenions le bain ensemble, avec ma sœur ou avec notre mère.
Pour un certain nombre de choses, il me faudrait l'opinion de mes parents...
Je n'ai pas le souvenir d'avoir fait de crises de rage précoces. J'en ai fais par la suite, mais elles étaient liées à des moments où je me sentais en position d'injustice sans motif valable.
Passé 3 ans, enfant et adolescente, je ne vois pas quelles ruptures ou négligences j'aurais pu subir. À part les enfants de la nounou qui n'avaient rien de doux avec moi et qui abusaient régulièrement de ma grande crédulité, j'avoue que je reste dubitative...
J'acceptais parfaitement le fait d'être dépendante de mes parents, de mes grands parents, de ma tante et de mon oncle. J'avais horriblement consciente d'en être dépendante et j'avais honte, parfois, surtout vers l'adolescence et lorsque j'étais jeune adulte. Mais rien à voir avec une non acceptation.
Loin d'être égoïste et centrée sur mon plaisir, j'étais avant tout perdue au milieu des choses à faire à la maison, les procédures à mettre en jeu, les rituels sociaux à respecter...
N'ayant pas vraiment changé de cadre de vie, je ne peux pas dire que j'y ai mal réagi.
Pour ce qui est d'être familière avec les étrangers, ça a pu arriver, mais je me sentais au contraire "sauvage" et tout changement dans mes habitudes sociale m'épuisaient.
Je ne savais purement et simplement pas sourire vraiment avant l'âge de 20 ans, aussi je ne vois pas du tout comment j'aurais pu "sourire de manière artificielle". Par ailleurs, depuis l'école maternelle, je me suis toujours sentie littéralement bombardée d'émotions, diverses, variées et parfois totalement antagonistes et effrayantes.
Les attentes des autres étaient et sont toujours terribles pour moi, car je sais très bien que je ne les perçois pas, ou mal, que je me fais des idées en permanence et j'ai toujours peur de "tomber à coté de la plaque"...
Les punitions m'ont toujours atteinte avec une force et une violence terrible, psychologiquement et physiquement (comme des coups de poing dans la poitrine ou sur les oreilles).
J'ai toujours été hyper-empathique. Je ressens trop. À un point tel qu'à une période de ma vie, j'ai purement et simplement essayé de ne plus rien ressentir... mais ça a été pire encore.
Le respect des autres est pour moi un fondamental du "vivre ensemble". Ne pas faire aux autres ce que je ne souhaite pas qu'on me fasse. Ne pas détruire ou salir des choses gratuitement, à fortiori quand elles ne m'appartiennent pas, ne pas agresser physiquement les autres...
Autant faire se peut, je respecte toutes les normes autant que possible, à moins d'être entraînée par des tiers à faire le contraire, mais toujours avec une grande anxiété, une "peur de l'autorité" exacerbée.
Bref, je ne suis pas une "bad girl", je ne suis pas une rebelle.
Je n'ai pas toujours été heureuse, ça c'est sûr, mais c'est avant tout parce que je ne comprenais pas que les autres, condisciples, enseignants, adultes etc ne comprennent pas que j'étais perdue. J'étais perdue au collège, au lycée, à devoir naviguer entre les salles, les bâtiments, les étages, à devoir connaître mon "emploi du temps", à devoir respecter des plans de classe, à devoir respecter les méthodes de tel ou tel prof en matière de notes de cours...
J'avais perpétuellement l'impression d'être en faute.
À la maison, je me sentais stupide et j'étais en colère, semaine après semaines, quand je ne comprenais pas qu'on me reproche de ne pas avoir étendu le linge, alors qu'on ne m'avait pas clairement demandé de le faire. Certes il était dans le sac à linge, mais je ne comprenais pas qu'on me reproche de ne pas l'avoir étendu, alors qu'on ne m'avait pas laissé de consignes allant dans ce sens. J'ai en quelque sorte appris à comprendre que, quand le linge était dans le sac dans le couloir, je devais l'étendre...
Mais le toucher de certains textiles humides représente une torture tactile (la laine mouillée me donne des frissons "électriques" dans tout le corps et une sensation de malaise général). Sans compter l'angoisse de ne pas faire les choses "correctement"...
Bref, je ne pense pas que ce genre de chose soit du ressort des troubles de l'attachement...
Bref, je ne suis pas une "bad girl", je ne suis pas une rebelle.
Je n'ai pas toujours été heureuse, ça c'est sûr, mais c'est avant tout parce que je ne comprenais pas que les autres, condisciples, enseignants, adultes etc ne comprennent pas que j'étais perdue. J'étais perdue au collège, au lycée, à devoir naviguer entre les salles, les bâtiments, les étages, à devoir connaître mon "emploi du temps", à devoir respecter des plans de classe, à devoir respecter les méthodes de tel ou tel prof en matière de notes de cours...
J'avais perpétuellement l'impression d'être en faute.
À la maison, je me sentais stupide et j'étais en colère, semaine après semaines, quand je ne comprenais pas qu'on me reproche de ne pas avoir étendu le linge, alors qu'on ne m'avait pas clairement demandé de le faire. Certes il était dans le sac à linge, mais je ne comprenais pas qu'on me reproche de ne pas l'avoir étendu, alors qu'on ne m'avait pas laissé de consignes allant dans ce sens. J'ai en quelque sorte appris à comprendre que, quand le linge était dans le sac dans le couloir, je devais l'étendre...
Mais le toucher de certains textiles humides représente une torture tactile (la laine mouillée me donne des frissons "électriques" dans tout le corps et une sensation de malaise général). Sans compter l'angoisse de ne pas faire les choses "correctement"...
Bref, je ne pense pas que ce genre de chose soit du ressort des troubles de l'attachement...
Nombre des faits cités ci-dessus ne "collent" pas du tout aux principales manifestations des troubles de l'attachement...
Qu’est-ce que le trouble de l’attachement?
Le trouble de l’attachement se caractérise par une incapacité à établir un lien sélectif avec une figure d’attachement (souvent un parent) dans la petite enfance. Cette problématique peut toucher des enfants qui ont vécu une rupture du lien mère-enfant (adoption, maladie de la mère, grossesse difficile, décès de la mère, placement précoce de l’enfant en famille d’accueil, etc.). Ce trouble entraîne des problèmes sérieux au niveau émotionnel, social, affectif, de la confiance en soi, du respect des normes et des études. Certaines conséquences sont irréversibles.Quelles sont les principales manifestations?
Chez l’enfant de moins de 3 ans :
Chez l’enfant et l’adolescent :
- Pleure sans arrêt ou, au contraire, pleure rarement (bébé trop facile).
- Ses pleurs sont les mêmes quel que soit son besoin (faim, douleur, colère, tristesse, etc.).
- Ne supporte pas beaucoup d’être touché.
- S’accroche peu quand on le prend dans les bras.
- Extrêmement résistant au bercement (raide comme une planche).
- Préfère rester dans son parc plutôt que d’être pris dans les bras.
- N’aime pas être tenu dans les bras, s’assoit sur les genoux dos à sa mère.
- Ne regarde pas beaucoup l’adulte, ne le suit pas des yeux.
- Ne répond pas aux sourires par un sourire.
- Ne reconnaît pas son père ou sa mère. Plus tard, il demande à une autre personne que ses parents de le prendre dans les bras.
- Ne rend pas les câlins.
- Fait des crises de rage dès qu’il n’obtient pas ce qu’il veut.
- Veut tenir son biberon tout seul dès que possible, manger tout seul et faire un maximum de choses tout seul.
- Cherche souvent à attirer l’attention en faisant du charme ou en cassant quelque chose.
- A vécu plusieurs ruptures ou de la négligence sévère (ex : plusieurs changements de milieux de vie).
- N’accepte pas d’être dépendant de l’adulte ; centré sur son propre plaisir, ne compte que sur lui-même, ne recherche pas le réconfort lorsqu’il est anxieux.
- Ne réagit plus aux changements de milieux de vie.
- Trop familier avec les étrangers.
- Aucun adulte ne semble plus significatif qu’un autre.
- Recherche l’attention de façon excessive.
- Sourire artificiel et absence de vraies émotions.
- Agit en fonction de ce que les autres attendent de lui.
- Manipulateur, centré sur ses intérêts.
- Réagit mal aux compliments et aux récompenses.
- Lorsqu’il passe un bon moment, il détruit le lien avec l’adulte par la suite.
- Intolérant à toute attente de l’adulte à son égard.
- Admet rarement ses torts même s’il est pris sur le fait.
- Rien ne l’atteint, même pas la punition.
- Apprentissages difficiles; besoin d’un l’adulte près de lui pour fonctionner.
- Relations conflictuelles avec les pairs; veut tout contrôler, manque d’empathie et de chaleur, partage difficilement l’attention de l’adulte.
- Dépasse toutes les limites.
- N’a pas de respect pour les autres.
- N’a pas le sens du bien et du mal (mensonges, vols, vandalisme).
- Se comporte à la maison comme s’il était à « l’hôtel ».
Je vais donc continuer mes séances d'EMDR avec ma psychiatre, qui reste malgré tout une personne en qui j'ai confiance, et je vais faire mes démarches relatives à un TSA éventuel en parallèle.
Pas de soucis.
D'ailleurs...
Là, je me reconnais carrément...
Qu’est-ce que le syndrome d’Asperger ?
Le syndrome d’Asperger fait partie des troubles envahissants du développement (TED). L’enfant qui présente cette problématique peut être diagnostiqué à partir de l’âge de trois ans, mais il arrive parfois que la problématique soit identifiée plus tard, c’est-à-dire à l’entrée à l’école, à l’adolescence et même à l’âge adulte. L’enfant qui présente ce trouble a de grandes lacunes de communication et de sociabilité. Toutefois, il a un développement cognitif et langagier normal.Il n’existe aucun traitement pour le syndrome d’Asperger. Il s’agit d’un état et non d’une maladie. Toutefois, il est possible d’atténuer les comportements dérangeants et d’apprendre des comportements qui sont socialement acceptés pour favoriser l’intégration sociale de la personne. L’éducation est très importante, car l’enfant peut apprendre les compétences nécessaires pour se préparer à l’indépendance de la vie adulte.Quelles sont les principales manifestations ?
Si vous remarquez plusieurs des caractéristiques suivantes chez votre enfant, vous devriez en parler à un médecin et il pourra vous référer vers un spécialiste si c’est nécessaire.Chez l’enfant :
- Lorsque bébé, peu de communication par le rire et le babillage.
- Langage très élaboré comparé aux autres enfants de son âge.
- Difficulté à entretenir une conversation avec une autre personne. Entretient plutôt un long monologue même si le sujet n’intéresse pas son interlocuteur.
- Peu ou pas d’amis.
- Ne respecte pas les règles sociales qui devraient être comprises à son âge ; attendre son tour pour aller dans le jeu, dire au revoir avant de partir, etc.
- Difficulté à comprendre le sens des expressions courantes et de donner plus qu’un sens à un même mot. Par exemple, si vous dites que vous étiez fatigué hier et que vous avez piqué un somme, il peut vous demander ce qu'est un somme et pourquoi vous l'avez piqué.
- Ne comprends pas les messages transmis par les signaux corporels (gestes, expressions faciales). Par exemple, si quelqu’un bâille, il ne comprendra pas que c’est peut-être parce que la personne est fatiguée ou parce que le sujet de conversation l’ennuie.
- Intérêts restreints. Peut avoir un seul sujet spécifique qui l’intéresse et y consacrer tout son temps. A de grandes connaissances sur ce sujet et peut en parler longuement.
- Culture générale impressionnante.
- Anxieux ou résistant face à un changement dans sa routine.
- Problèmes de coordination, maladresse dans ses gestes.
- Difficulté à gérer ses émotions et à exprimer de l’empathie envers les autres.
- Grandes capacités d’apprentissage (très au-dessus de la moyenne) dans certains domaines et de grandes lacunes dans d’autres.
- Sensible aux bruits. Par exemple, se bouche les oreilles dans la cour d’école.
- Intonation monotone.
- Fuit le contact visuel.
Chez l’adolescent :
- Difficulté à comprendre les règles sociales implicites : attendre son tour pour payer, ne pas parler de sa vie personnelle à un étranger, etc.
- Baisse dans les notes scolaires dès l’entrée au secondaire.
- Difficulté à s’orienter à l’école et à arriver à temps dans ses cours.
- Difficulté à s’organiser et à réaliser la tâche demandée à temps.
lundi 30 novembre 2015
Une maison, de la peinture, de la magie...
Souvenirs de mon ancien village des Pyrénées...
J'aurais dû faire ce billet depuis longtemps, mais c'est en voyant la maison aux milles couleurs sur POSITIVR que le déclic s'est fait...
Je suis passée des dizaines de fois devant cette maison, incapable d'aborder ses occupants...
Ce n'est malheureusement que quelques mois avant notre déménagement en Charente que j'ai enfin rencontrés les propriétaires de cette cabane aux peintures...
Une cabane enchantée...
Merci à ma maman de m'avoir aidée à entrer dans ce havre de bois et de douceur ♥
La maison enchantée |
Et même à l'intérieur...
Avec flash |
Sans flash |
La maison aux milles couleurs...
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