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samedi 6 janvier 2018

2018

Il est d'usage de souhaiter une bonne année.
Bonne année 2018 donc.
Moi, je commence sur les chapeaux de roue:
  • Je ne sais toujours pas si oui ou non je vais entrer en formation le 28 janvier...
  • La succession de mon mari n'est toujours pas réglée plus de 16 mois après son décès (procédure judiciaire en cours)...
  • Je veux déménager, parce que habiter seule un T3 bis de 90m² où j'ai vécu six des pires mois de ma vie entre septembre 2014 et mars 2015, avec tous les mauvais souvenirs qui y sont rattachés, on fait mieux pour le moral...
  • Tout ça fait beaucoup de choses à gérer et ma logistique personnelle est un très gros problème
  • Je suis en train de perdre le peu d'équilibre que j'avais réussi à trouver et ces temps ci, c'est rare qu'un jour passe sans que je m'interroge au moins une fois sur l'intérêt de continuer à vivre. Je sais, c'est nul, mais c'est comme ça.
Bref, je pars en vrille.

J'aimerais tellement savoir sous quelle échéance je peux m'attendre à voir cette succession être enfin réglée.
Indéniablement, vivre écartelée entre deux vies, c'est mauvais pour la santé.
L'anxiété générée par l'attente interminable du droit à passer à autre chose me mine énormément.

J'ai refusé de regarder la réalité en face pendant très longtemps, mais habiter un endroit que mon mari m'avait demandé de choisir "pour quand il ne serait plus là" (chose que nous n'avons pas eu le bon sens de faire inscrire dans l'acte d'achat), avec toute la charge émotionnelle des meubles, des objets ou des traces de sa longue agonie (que je n'ai pas été capable de supporter), c'est profondément malsain.

J'ai voulu "revenir chez moi" en octobre 2016 parce que je ne supportais plus de squatter la résidence secondaire de mes parents, mais aussi parce que j'avais l'amer sentiment de m'être fais chasser de l'appartement en mars 2015. Je dois cependant regarder la vérité en face: j'ai fais le choix de ne pas revenir vivre avec mon mari, le 03 avril 2015, quand je suis sortie d'hospitalisation.
Je ne savais pas où j'allais, mais je savais au moins ça.

J'étais dévastée. Je voulais son bien, mais je pensais que sa meilleure place était en USLD et je n'ai pas osé le lui imposer. Je me suis éloignée en pensant me protéger.

Si j'avais été moins faible, je n'aurais tout simplement jamais accepté d'aller vivre avec Alain en 2004. Nous nous fréquentions, mais je le sentais bien plus enflammé que moi et une partie de moi ne souhaitait pas de rapprochement trop réel. Quand nous parlions de notre relation, nous disions que, même s'il se séparait de sa concubine, on préférait rester "chacun chez soi". Il disait être d'accord avec ça. Mais il m'a tout fait oublier de ces belles résolutions quand elle a effectivement décidé de le quitter. Il s'est empressé de m'appeler pour m'inviter à venir vivre chez lui, ce que j'ai fais.

Il me faisait me sentir forte et exceptionnelle à cette époque.

Quand j'ai commencé à sentir que je ne l'aimais pas vraiment, j'avais commencé à perdre à nouveau confiance en moi, mais je pensais qu'il représentait ma seule chance d'avoir une vie "normale". Un part de moi essayait de me convaincre que jamais je ne pourrais trouver d'autre homme qui m'aimerait comme lui. Sauf que je ne suis pas vraiment sûre que ce qui nous liait était de l'amour.

J'aurais du parler de mes doutes à tous les gens que je connaissais, à l'époque. À ma famille, à mes rares copines de la fac de droit.
J'étais encore en première année.
Au lieu de ça, j'ai fais semblant.

Alain m'a apprit à faire semblant que tout allait bien alors que ça n'était pas le cas.
J'avais commencé à me défaire de ce travers mis en place durant des années comme moyen de survie, mais il m'a incité à affirmer sans arrêt que j'étais "en pleine forme" et à cacher mes émotions réelles.

Ma vie avec Alain a été une succession d'erreurs commises dans une apparente béatitude.
La vérité était que j'avais peur d'affronter seule la vie et qu'il était la seule branche à laquelle j'avais trouvé à m'accrocher. Je l'ai laissé me pourrir la vie pour ne pas avoir à affronter la mienne.

Tors partagés.

Alors qu'importe la succession...
Je ne lâcherais pas l'affaire : après tout, c'est lui qui a voulu qu'on conclue un PACS (fiscalement c'était avantageux: j'étais étudiante, je ne gagnais pas un sous) et c'est lui aussi qui a voulu qu'on se marie (il ne m'a pas demandée en mariage, il a dit qu'on devait se marier, dans le bureau d'un cardiologue qui venait de lui annoncer qu'on devait l'opérer du cœur).

Grâce à lui, j'ai une petite rente qui m'est versée tous les mois.
C'est pas le Pérou, mais ça aide davantage que l'allocation adulte handicapé que je touchais avant.

Mais il n'est plus question que je me rende malade pour des histoires relatives à ce mariage pourri et ses conséquences.

C'est pourtant comme ça qu'avait commencé ce billet.

En effet, en rangeant la paperasse en vue de mon futur déménagement, c'est justement des questions de cet ordre qui se sont mises en travers de ma gorge. Déménager me permettra de ne plus devoir payer les charges et les impôts liés à l'appartement, qui iront alors grossir le passif de la succession.
Je vivrais enfin ma vie, ailleurs.
Je voulais me faire une idée du cout mensuel d'occupation de l'appartement.

Résolue à quitter cet endroit, j'ai récemment commencé à ranger les papiers de mon mari, les séparant des miens. Le hic c'est que quand on fait le tri dans les papiers d'une personne décédée, on trouve des choses parfois désagréables (et pourquoi j'ai fourré mon nez la dedans, aussi?!?).

J'ai trouvé par hasard les avenants de changement de bénéficiaire de plusieurs assurances vie de mon défunt mari.
Cinq en tout.
Composées au moment du décès de mon mari de plus de 45.000€.
C'est con mais je me suis pris une grosse baffe émotionnelle.
La raison est très simple : Alain avait tenu à m'inscrire comme bénéficiaire de ces contrats en 2008, après notre mariage, alors que nous attendions que soit fixée la date de son opération du cœur.
Mais je n'ai bien entendu pas touché un centime au moment de son décès.
Les avenants dataient de fin juillet 2015.
Mon mari a été placé sous sauvegarde de justice début aout 2015.

Trouver ces papiers m'a fait un choc et je me suis rendue malade, psychologiquement parlant, avant de retrouver mes esprits.

Je. M'en. Fous.
Je m'en fous du pognon.
Je voudrais que la succession soit liquidée. Point.

Bien sûr que ça m'agace que les enfants de mon mari aient d'ors et déjà touché plus de 100.000€ chacun et que moi, on me dise que les avoirs que j'avais sur mes comptes personnels au moment du décès de mon mari entraient dans la communauté et donc dans la succession... mais de toute façon je n'en sortirais pas plus pauvre que je n'y suis entrée.
C'est la seule chose qui compte.
En plus j'ai fais tirer le relevé de mes comptes à la veille de mon mariage, donc il faut retirer cette somme du tout. Ainsi que les prestations sociales qui m'ont été versées nominativement.

Bref.
Je dois passer à autre chose.
Ça se joue devant le tribunal, maintenant tout ça, donc on positive.
Et hop! un souci en moins.

Ce que je cherchais à la base, c'était de savoir à combien mon occupation de l'appartement me revient par an à peu près...
Taxe d'habitation : 1240€ (qui devrait passer à 870€ en 2018)
Taxe foncière : 2.200€
Si on y ajoute
Charges de copropriété : 2.000€
Assurance habitation : 336€

Ça me fait à peu près 450€ de dépenses mensuelles, et ça me permet de mieux appréhender la comparaison avec une future location...

Pour le moment, il faut que je dégage tout ce que je ne veux plus voir.
Dans l'appartement et dans ma vie tout court.

vendredi 17 novembre 2017

Quoi de neuf sous le soleil (levant)?


Alors, quoi de neuf à la mi novembre de cette année 2017?

Pour commencer, les nouvelles les moins cools.

- J'ai attaqué (ou été attaquée, pour être plus exacte) ma cure annuelle d'infections respiratoires avec une angine virale, qui c'est transformée en rhinopharyngite. La mauvaise blague a commencé environ le 30 octobre et je commence à peine à arrêter de tousser.
Bonne nouvelle quand même : visiblement, contrairement à l'an dernier j'ai réussi à enrayer la bronchite qui n'est donc pas devenue asthmatiforme. Or j'avais fais quatre bronchites asthmatiforme l'an dernier et le moins que je puisse dire, c'est que c'est vraiment pénible.

- Dans "l'événementiel" agaçant, la succession de mon mari est toujours au point mort.
C'est agaçant. J'ai été sympa, j'ai fais preuve de bonne volonté (par exemple en payant des factures qui pourtant étaient dans l'indivision successorale), mais maintenant ça va faire 15 mois que mon époux est décédé et que les deux autres héritiers ont... disparus!🔍🔬
Mais relativisons : j'ai pris une avocate et maintenant, c'est elle qui gère le dossier.
Moi, j'attends juste que ça aboutisse... Dans la mesure où j'ai toujours fais preuve de bonne volonté, je suis très confiante. À priori, en dehors des lenteurs administratives dues à la surcharge des tribunaux à notre époque, ben... on change de notaire et on partage tout comme la loi le prévoit. Fin de l'histoire.
Nous venons de lancer les assignations à comparaître devant le tribunal de grande instance, contre les deux autres héritiers (ce qui est apparu comme étant le seul moyen sensé de débloquer la situation).
Avec un timing parfait, j'ai reçu (avec un grand étonnement) une convocation pour une audience devant la Cour d'Appel de Bordeaux pour le mois prochain.
L'appel concerne un jugement de la juge des tutelles d'Angoulême de décembre 2016, dont je n'avais jamais entendu parler, vu qu'à l'époque, j'étais encore majeur protégé. Bizarrement, je suis à peu près convaincue que c'est l'ancien tuteur de mon mari, qui voudrait toucher ses honoraires... mais je n'en sais rien en fait. Je laisse mon avocate gérer. Elle est là pour ça.

Beaucoup plus cool, je me sens enfin capable de revenir à l'emploi, après presque quatre ans hors jeu (je n'ai pas été inactive pour autant, puisque j'ai passé une partie de ce temps à aider mon mari, puis à me remettre de mon burnout de l'aidant, et ensuite j'ai aidé par-ci par-là des gens).

Comme ma licence de droit ne me sert à rien d'un point de vue qualifications professionnelles (il faut être clair : une licence universitaire générale, c'est "diplômant", mais ça n'apporte aucune compétence particulière), je fais le choix d'entrer en formation pour être secrétaire médico-sociale.
Je dois faire un stage Pôle Emploi de "PMSMP" (période de mise en situation de milieu professionnel) pour valider ce projet, histoire qu'on soit sûrs que c'est bien ce que je veux faire comme travail (vi vi vi... même que si je n'étais pas entrée à la faculté de droit en 2004, mon intention première était de passer un BTS d'assistante de direction...).
Normalement je devrais faire ce stage courant décembre 2017 tandis que la formation commence fin janvier 2018. Ensuite, ce sera 1022 heures de formation (8 mois), dont 210 heures de stage (soit 6 semaines).

En dehors de ça ?

Ben... la vie quoi!!!

vendredi 7 avril 2017

Un petit courrier qui soulage...

Mon mari est décédé le 20 aout 2016.

Ce n'était pas quelqu'un de bien. Je n'ai plus aucune honte à le dire. Il m'a fait du mal, beaucoup de mal, tout en étant certainement persuadé qu'il agissait pour mon bien être. Il a toujours su que je souffrais de troubles psychiques, mais il faisait partie des gens pour qui ce genre de problème relève de la force de caractère et de la volonté, sans tenir compte de la biochimie cérébrale, de la neurologie ou de l'impact possible des traumatismes et conditionnements.
Bref la psychiatrie et les thérapies de soutien, c'était du charlatanisme...🚨🚮

Je sais aujourd'hui que je ne suis pas une malade imaginaire, que les troubles qui m'accompagnent depuis l'enfance font partie de moi de manière intrinsèque et qu'il est aussi imbécile de me dire de "ne pas angoisser" que de dire à un cardiaque de ne pas faire de crise d'arythmie ou à un asthmatique de garder les bronches ouvertes...

Mon mari croyait sincèrement en ce en quoi il prêchait : cette force de la volonté et de la rigueur, qui aurait du pouvoir me "sauver". Selon lui. Un pas à franchir comme un autre... 🚪

Sauf que les choses ne fonctionnent pas ainsi et que, même en me voulant du bien, il m'a enfoncée.
Bon, c'est comme ça, on ne va pas refaire les choses.

Il avait d'autres défauts et il est décédé, inutile d'épiloguer pendant 107 ans.

Par contre, 8 mois après son décès, je continue de recevoir du courrier à son nom, et ça, c'est agaçant.

D'une part parce que la succession est au point mort et d'autre part parce que j'ai repris avec une volonté vigoureuse mon nom de naissance (bref mon état civil pur et simple, sans nom d'usage) et c'est celui-ci, exclusivement, qui figure sur ma boite aux lettres.📫

Bon, recevoir des offres d'abonnement de Télérama, c'est une chose... je profite des enveloppes "T" pour leurs signaler que la personne à laquelle ils s'adressent est décédée et que l'occupant de la nouvelle adresse ne souhaite pas s'abonner, vraiment NON, merci bien (je n'ai jamais lu intégralement le magazine)...

Recevoir des courriers bancaires adressés à la "succession Mon-mari-qui-est-mort", c'est légèrement plus exaspérant.🔪

Nom de non!
Par quel rouage faussé de la mécanique informatique est-ce que les courriers bancaires d'une personne décédée, dont la succession n'est pas clôturée, en viennent à arriver à son ancienne adresse? C'est peut-être idiot, mais je crois bien que c'est par le biais de l'ancien tuteur de ladite personne décédée (je ne sais pas, j’émets des hypothèses...).

Alors moi, qu'est-ce que j'en fais de ces courriers ?
Bon, je les garde, c'est évident...
Même si le solde des comptes concernés est de 0,00€
Le compte existe, et c'est bien pour ça que l'écureuil écrit...

Donc moi, comme je suis en verve, j'envoie un mail au conseiller financier de l'écureuil dont les coordonnées sont indiquées sur le relevé de comptes.

Honnêtement, ça ressemble un peu à un épisode des "Lapins crétins", mais ça soulage...🐇🐰

Sans les noms, ça donne ça :

Monsieur,
Veuve de Mr Alain M. (identifiant client XXXXXX), je commence à être exaspérée de recevoir des courriers adressés à mon adresse à:

"SUCCESSION Mr Mon-mari-qui-est-mort ALAIN
Bâtiment Trucmuche
Allée du Trucbidule
16000 ANGOULEME".


Je ne suis pas notaire.

La succession est ouverte à l'étude de Maître C.:
(suit l'adresse, dans le mail, mais je vais pas vous la donner, quand même, rêvez pas!!!)


Dans la mesure où il existe un litige sur la succession, vous feriez bien mieux d'adresser vos courriers à Maître C. - Succession de Mon-mari-qui-est-mort, et non à moi.

Ayant reprit mon nom de jeune fille pour des raisons tenant à ma santé mentale, je compte bien empêcher à l'avenir la Poste de faire parvenir tout courrier adressé au nom de Mon-mari-qui-est-mort à mon adresse.


Dans la mesure où je n'ai strictement rien à faire des comptes de mon défunt mari, et que je fuis littéralement tous les établissements bancaires auxquels il a eut à faire (navrée de vous l'apprendre, je ne suis pas une cliente potentielle), vous devriez vraiment rectifier l'adresse d'envoi des courriers concernant le compte N°XXXX XXXX XXXXXXXXX.

Le compte est peut être à sec, mais je vous le dis avec la sincérité la plus pure, je n'en ai vraiment rien à faire.

Par contre recevoir du courrier au nom de mon mari décédé, cela me plonge tout à fait en fureur (pas contre vous, rassurez vous: j'ai conscience que vous ne faites que suivre des protocoles, et, je suppose, des consignes données par un mandataire judiciaire qui va finir par avoir des problèmes eut égard à la gestion calamiteuse qu'il a fait de la tutelle de mon mari).

Je vous souhaite une bonne fin de semaine, au soleil, et espère ardemment ne plus voir apparaître sur aucun courrier le nom de mon défunt mari, qui était un personnage que je préfère oublier. Ma psy ayant malheureusement du pain sur la planche pour m’amener sur la bonne voie...


Merci bien.

Avec tout mon respect, et mes excuses, car j'ai conscience que je suis légèrement exaspérante (mais sachez que ça soulage énormément).

Mme Elle aux Ailes, veuve de votre ancien client Monsieur-qui-est-mort.


Je sais pas si ça fera marrer le conseiller financier, mas en tout cas, moi, ça m'a fait du bien...😁

J'en ai vraiment rien à secouer, de l'argent de mon mari (je suis souvent tentée d'écrire ex-mari... si on avait divorcé aux conditions que je souhaitais, aujourd'hui, je serais moins enquiquinée, mais il ne voulait pas, et moi je voulais lui faire plaisir... qu'est-ce que c'est beau, dites donc, le phénomène d'emprise psychologique!...).

Si on avait divorcé, je ne voulais pas de prestation compensatoire: uniquement que notre appartement soit versé à mon patrimoine exclusif et qu'il en paie seulement les charges. J'en aurais donc été nu-propriétaire et lui usufruitier. Autre seule condition, je souhaitais que l'argent présent sur mes comptes bancaires reste à moi, et retourne dans ma banque originelle. Point.

Je n'ai pas changé de point de vue : c'est strictement la  proposition de partage que j'ai fais, et elle est très honnête.

Par contre, après plusieurs mois sans réponse des autres héritiers, j'ai pris une avocate, parce que j'en ai raz la casquette que la succession lambine.💣

Maintenant, soit la solution amiable passe, soit on règle ça devant des juges.💥
Sachant que la solution judiciaire n'est évidemment pas économique...😁😁😁
Donc contre-productive si on espère obtenir de l'argent.
Ce qui n'est pas mon objectif.😎

Mais bon, ce que j'en dis moi, hein...😉

Je souffre peut être de troubles psychiques (diagnostiqués, évalués, mesurés, suivis, reconnus...), mais je ne suis ni demeurée, ni irresponsable ou je ne sais pas quoi encore...
L'emprise, c'est comme Capri : c'est fini.
J'en ai marre qu'on me prenne pour une gourde.👍


Merci à Anne-Laure Buffet pour son article sur l'emprise conjugale.