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mardi 10 mars 2015

Clinique

Du 10 mars au 03 avril, je suis en clinique "de santé mentale".
Après?
Après je crois pas que je rentrerais "chez moi".
Pour l'instant c'est trop confus et mon "chez moi" me tire vers le bas.
Depuis longtemps.
Pour l'instant c'est la Villa Bleue.
Après on verra.

mercredi 7 janvier 2015

Evolution, réconciliation... Paix

Depuis fin novembre, les choses vont beaucoup mieux pour moi, pour nous.
Je vais régulièrement à la "Petite auberge", GEM géré par l'Ordre de Malte. Ne pas se fier aux horaires indiqués sur le site de l'Ordre de Malte, le lieu est ouvert du lundi au vendredi, de 9h à midi et de 14h à 18h (sauf le vendredi, fermeture à 17h).
C'est avant tout un lieu convivial, où je vais souvent pour ne rien faire, ne rien dire. Au début j'y déversais mon mal âtre, mais maintenant mon plus grand bonheur est de préparer un gâteau au yaourt le vendredi et de le partager avec les personnes présentes... et mon mari.

Je suis plus sereine. Je communique mieux. Je sais mieux dire aux autres "je suis mal à l'aise [avec ton discours, ta façon d'agir] mais je te respecte et je vais essayer de faire des efforts". C'est une démarche payante puisque mes interlocuteurs se remettent (parfois) en cause et sont alors plus modérés, moins agressifs, moins anxiogènes. Je suis aussi capable de dire que je ne suis pas d'accord avec telle ou telle chose, mais que ce n'est pas une agression, que chacun a ses idées propres.
Mieux, je suis capable d'exprimer calmement mon anxiété, mon malaise face à une situation qui génère en moi de l'inquiétude, des angoisses. Au lieu de me blinder et de souffrir en silence, j'en parle désormais immédiatement, en précisant toujours que "mon ressenti est que..." mais qu'il ne correspond peut être pas à ce que mon interlocuteur a cherché comme réaction (si tant soit qu'il y ait pensé).

Bref, beaucoup de progrès.

Je me sens mûre pour vraiment entrer en psychothérapie, même si j'ai conscience que ça va me demander de gros efforts (et que j'appréhende beaucoup, du fait de ne pas savoir "à quelle sauce je vais être mangée!!!).
Jusque là, je me suis juste "contentée" d'échanger du blabla. Il est temps de s'attaquer aux mécanismes qui me pourrissent la vie et de les extirper de mon mode de pensée.

samedi 11 octobre 2014

Lieux et personnes "ressources"

Quand on est dans ma situation (dépression, anxiété...) il est bon d'avoir des lieux et des personnes dites "ressources". Pour rompre avec l'isolement. Des personnes vers qui se tourner, des lieux où aller, quand ça ne va pas.
La MJC est un endroit de ce genre là.
Encore faut-il pour moi parvenir à arriver là bas.
Passer les portes, ça n'est pas mon fort. Faire des choses nouvelles. Entrer dans des lieux où je ne suis jamais allée pour rencontrer des gens que je ne connais pas.

Pourtant hier je suis parvenue à entrer dans la MJC Louis Aragon.

J'y ai rencontrées des personnes sympathiques. C'est un lieu ressource.
Mais encore faut-il que je sois en état d'y aller, que j'ai la force d'y aller.
Surtout en cas d'invitation.
Rien de pire.

J'ai été invitée à y aller cette après-midi.
Mais ça m'a torturée toute la journée, mon angoisse n'a cessé de croître, jusqu'à ce que je sois à la limite de la crise de panique. J'ai été obligée de prendre des anxiolytiques. Beaucoup. Plusieurs fois des demi barrettes de Bromazepam.

J'ai fini par accepter cet "échec personnel".
Mais ça a été dur, très très dur.

samedi 15 février 2014

Fauteuil et tic-tac

Hier j'écrivais que le tic tac de la pendule de la salle de séjour m'exaspérait... Aujourd'hui j'ai retirée la pile. J'ai raccrochée la pendule, pourtant inutile. Mais au moins maintenant je peux m'abandonner à l'oubli en toute tranquillité, bien au calme. Des fois avec le téléviseur allumé, le son presque coupé. "Hawaï, l'archipel de feu". Coulées de lave et explosions rougeoyantes. Hypnotisant.

Je ne suis pas du tout bien en ce moment.
J'aurais aimé qu'Alain aille à l'hopital, mais lui ne veut pas, et je ne le forcerais pas. J'en aurais profité pour aller au CATTP tous les jours, matin et après midi, sans culpabiliser de le laisser seul.

On va aller en Charente Maritime début mars, pour voir nos familles. C'est plus important pour lui, et pour moi aussi. D'ici là, je vais essayer de m'arracher à ma culpabilité permanente et aller au CATTP autant que possible, pour essayer de faire décroître mes angoisses.

Je me sens "nulle" en ce moment. J'ai envie de rien à la maison. Juste dormir, manger et végéter.


vendredi 14 février 2014

Angoisse croissante, solutions, culpabilité.

Ces temps ci, tout me coûte.
Je me sens épuisée moralement et physiquement.
La santé de mon mari joue pour beaucoup dans cet était de fait. Mais mes angoisses individuelles sont les premières fautives. Anciennes et récentes.

Les anciennes parce qu'elles m'ont poussée à m'enfermer dans un quotidien rassurant, intégré à notre vie de couple par l'un comme par l'autre. Une routine quasi immuable. Peu à peu influencée quasi exclusivement par les habitudes de mon mari : l'heure du lever, des repas, de la sieste, du coucher... Des choses ordinaires qui ponctuent la vie. J'ai suivi parce que ça ne me gênait pas vraiment, ça me structurait et j'aimais ça, même si j'aurais aimé un peu de relâchement de temps à autre, un peu de fantaisie. C'est comme ça que j'aime beaucoup aller à la cafétéria, par exemple.

Les nouvelles angoisses, parce qu'elles m'ont rendu ce huis-clôt intolérable. Avant, je travaillais et je sortais. Une sorte de bouffée d'oxygène, mais pour une autre source d'angoisse. Entre les deux j'essayais de m'aménager des pauses, un temps quasi volé pour aller faire une ou deux courses, un temps dérisoire. Mais j'avais toujours peur. Peur d'être en retard au travail. Peur d'être en retard à la maison. Mais c'était plus fort que moi, il fallait que je m'arrête, que j'aille acheter du pain, que je souffle.
C'était même déjà comme ça quand j'allais à la fac : j'avais besoin de m'aérer entre la maison et la fac, entre les cours du matin et ceux de l'après midi, puis entre la fac et la maison.
Depuis que je ne travaille plus, je suis à la maison tout le temps et aller marcher ne m'aère plus du tout. Je marche comme un zombie pour descendre à Intermarché, en comptant mes pas... 1, 2, 3, 4, 1, 2, 3, 4... tout le long du chemin. Des fois je compte jusqu'à 8. Puis je reviens à 4. J'ai envie de voir du monde mais en même temps je n'en ai pas envie. J'ai envie d'être loin, de changer, de trouver une vie à moi, tout près de lui, avec lui, comme si je travaillais. Pas un travail rémunéré en argent, mais un travail rémunéré en humanité, en plaisir de vivre. Que je pourrais lui raconter avec ce plaisir enfantin que j'avais à la fac, au travail... au début. Mais je ne sais pas s'il aimerait, et ça aussi, ça m'angoisse.

Les nouvelles angoisses c'est de laisser mon mari seul, peur qu'il me juge, m'en veuille. C'est la peur qu'il ait besoin de moi quand je ne suis pas là, comme quand on sonne à la porte et qu'il ne peut pas répondre. Peur qu'il pense qu'il ne compte pas, qu'il ne compte plus. Mais il compte, il compte énormément. Tellement que ça m'envahit, que ça m'obsède, au point j'ai le sentiment de n'être là que pour lui, pas loin, à portée de regard, à portée de voix, à portée de bras, pour le rassurer, pour l'accompagner, parce que j'ai peur qu'il soit fâché contre moi pour une raison ou une autre. Pas parce qu'il est comme ça, mais parce que moi je suis comme ça. Je m'étouffe d'angoisses. Je suis esclave de mes angoisses.

La maladie complique tout. Avant déjà j'avais les larmes aux yeux sur des quiproquos, des remarques anodines sans doute, des choses qui me blessaient sans qu'il s'en soit rendu compte le moins du monde, parce que j'ai toujours eu la sensibilité à fleur de peau, la peur du rejet, de la moquerie, du désamour...
La maladie, ça l'empêche de gérer plusieurs tâches à la fois. Parler en montant ou descendant l'escalier. Répondre à une question quand il coupe son pain. Mais j'ai toujours du mal à intégrer ces faits. Alors je continue de parler, je continue de poser des questions. Et puis il y a l'élocution, dont il n'a pas toujours conscience, surtout sur le "oui" et le "non", que je ne distingue pas toujours bien. Culpabilité encore, les larmes aux yeux quand je ne comprend pas ce qu'il me dit. Parfois je comprend mal une réponse. Non, ouais? Je ne sais pas toujours. Des fois si la TV est allumée, je n'entend pas bien, et il me reprend, parfois agacé. Panique dans ma poitrine, dans mon cœur. J'essaye de me raisonner, ce n'est pas contre moi qu'il en a, mais contre la situation. Mais c'est plus fort que la raison, mais ça me laisse blessée des heures durant.

Toujours, tout le temps, j'interprète, j'ai peur, j'angoisse. Peur qu'il m'en veuille si je ne viens pas lui tenir compagnie pendant sa sieste, peur qu'il m'en veuille si je m'endors (je suis épuisée, je dormirais sans peine 2h, s'il ne me réveillait pas), pire, si je m'absente.

J'ai commencé à aller au CATTP (Centre d'Activités Thérapeutiques à Temps Partiel) le vendredi 7 février. Je n'y suis pas restée longtemps, parce que j'avais rendez-vous à la MDPH. J'y suis retournée le lundi matin qui a suivi (10 février) et j'y suis restée presque deux heures. Je n'ai pas réussi à y retourner de la semaine.
Je me suis sentie dans l'obligation de ne pas "abandonner" mon mari trop longtemps, de ne pas sortir ses "bons" jours et de m'assurer de son accord formel pour toute sortie. Et maintenant je me sens coupable de ne pas y avoir été, parce que je voulais vraiment le faire, et je me sens aussi en colère et plein d'autres choses encore.
Angoissée.

L'angoisse ne cesse de croître ces temps ci. Je ne me sens plus de taille à gérer la vie quotidienne, l'excès de proximité avec mon mari m'oppresse et est presque en train de détruire notre relation. Sans doute qu'il ne le ressent pas ainsi de son coté. Mais moi c'est ce que j'éprouve.

Les sorties que nous faisons ensemble ne m'apaisent pas. Les sorties que je fais pour des raisons "utilitaires" (courses, pour l'essentiel), ne m'apaisent pas non plus. Je me suis même retrouvée à plusieurs reprises à faire les courses les larmes aux yeux, l'angoisse vissée à l'âme, avec  pour seule idée de rentrer chez moi et de me cacher, de disparaître à la vue de quiconque. Je rentre chez moi, chez nous, avec les dents serrées, mal au crâne, le ventre à l'envers. Chez nous.

Nous. Mais "nous", je n'y arrive plus. Je veux qu'on soit "nous" encore, mais ça me fait mal, ça me siffle dans le crâne, l'angoisse de l'avenir, du passé, les chutes en marchant, la chute dans l'escalier, ses soupirs d'agacement dans son bureau, son besoin répété d'intimité, ses troubles de l'équilibre, la peur des chutes, la peur quand il tousse, peur qu'il avale de travers, peur de la pneumopathie... J'ai peur, j'étouffe, j'étouffe de peurs.
Je veux mon mari, je veux l'aimer, mais je n'y arrive plus, je suis submergée d'angoisses, de peurs. Je veux fuir, mais je veux rester avec lui. Je ne veux pas que nous nous séparions, parce que je l'aime et qu'il m'aime et que nous avons besoin l'un de l'autre. J'étouffe alors je fuis, je m'enferme dans ma voiture et je pleure, je hurle mon désespoir, ma colère. Mon besoin de fuir mes angoisse, de voir autre chose, d'autres gens. Mon besoin de vie sociale, hors contexte. Je pleure, je pleure, je pleure.
Je me réfugie dans la salle de séjour, sur mon fauteuil, celui qu'il m'a acheté, et j'oublie. J'entends le tic-tac de la pendule et j'ai envie de l'arracher du mur, de la balancer. De lui enlever la pile, au moins. Mais pas le courage de m'arracher au fauteuil. Tic-tac incessant qui me fait serrer les dents. Attendre et serrer les dents.

J'attends que les autres disent pour moi, qu'ils me disent quoi faire, mais je sais qu'à un moment c'est à moi de faire les choix, de les affirmer. Pas imposer, juste dire "c'est ça dont j'ai besoin". Être responsable de moi même, de mes choix. Ne pas culpabiliser si les autres ne sont pas d'accord. C'est ma vie, d'abord. C'est notre vie, ensuite. Ensemble. Mais pas tout le temps. Pour mieux l'aimer.

Voilà.
C'est la Saint-Valentin.
J'ai osé l'écrire.
Pas un cadeau, désolée.
Mais j'assume.

dimanche 22 décembre 2013

Une araignée au plafond

J'ai une araignée au plafond.
Pas une grosse grosse.
Mais elle fait des siennes assez souvent pour que je le sente (d'ailleurs elle doit me foutre le foutoir là dedans, vu les mal de crâne que je me tape à longueur de temps!).
J'ai une araignée au plafond, et pour que les gens comprennent que c'est bien un trait d'humour de ma part pour décrire mes multiples maux psychiques, je lui ai tiré le portrait.
Des fois elle est morte de trouille et ça me fait trembler de partout, ça me donne des frissons et même je claque des dents...
Des fois, ça va tellement bien qu'elle met la musique à fond et se la joue "I believe I can fly... I believe I can touch the sky"...
 Le truc c'est que ça dure pô...
 Mouais... n'est-il pas?
Par bonheur, elle rebondit vers un enthousiasme plus vif!
...Mais...
Des fois ben...
Mais surtout surtout, mon araignée au plafond elle est souvent comme ça, là, dessous, et c'est comme ça que je la préfère!!!
Vouala!!!


mercredi 18 décembre 2013

Ecriture automatique

Il y a des jours comme ça où la tempête dans le crâne est si forte qu'il faut la faire sortir à tout prix, l'éjecter, l'exprimer. Le problème c'est que des fois ça passe par la bouche, ça crie, ça hurle, ou bien c'est posé, stoïque, informe, froid, glacial, fermé. Le genre de choses qui cassent tout sur leur passage. Horreur et désolation.
Alors j'écris, j'écris, j'écris.
Des choses qui sortent toutes seules, jusqu'à ce que la crue se soit tarie et que la tension redescende.

Je ne vais pas bien en ce moment et je retrouve mes plus vilains travers d'avant, de ceux de la fille qui ne savait pas sourire, qui ne savait pas parler.

Pas d'autre moyen d'exister qu'écrire. Mais le clavier, parfois, ça ne s'y prête vraiment pas. J'ai besoin de mon stylo plume à encre noire, du papier ligné, d'aller vite comme ça vient, de sortir ça de moi et de le jeter.

samedi 16 novembre 2013

On va sortir, c'est repartit




Il y a... pfffiou... longtemps longtemps, je m'étais inscrite sur OVS Tarbes. C'était en aout 2011, c'est dire si ça date. J'étais restée inscrite et je n'étais jamais jamais sortie, pas même pour prendre un café avec des gens.
Aujourd'hui, je crois que je suis mûre pour ça. Juste un petit café (ou thé, ou chocolat...) de temps en temps, si les horaire mes vont, si je suis pas trop angoissée, si ça ne dérange pas trop mon mari.
Je culpabilise énormément vis à vis de mon mari, de le laisser seul (mais il peut aussi venir avec moi!!!).

Juste je suis à bout en ce moment. J'essaye de ne pas le laisser voir à Alain, parce que j'ai peur qu'il croit que c'est sa faute. Mais je suis neuneue et ça date pas de sa maladie. C'est juste que déjà avant ça me pesait, cet isolement social, et que maintenant, j'aurais vraiment besoin de m'aérer la tête, de faire des choses nouvelles et de pouvoir le lui dire et... qu'il soit fier de moi.

C'est peut être con, mais j'ai envie qu'il soit fier de moi, mon homme. Qu'il voit que je suis capable de ne pas rester isolée, d'aller vers les autres, même si pour ça il faut que je le laisse tout seul... ou que je le confronte lui aussi aux autres, s'il le veut bien.

Mais je préfèrerais d'abord me faire des amis, et ensuite les lui présenter.

Enfin bref, oui, OVS, c'est repartit.

J'ai déjà pas mal de messages de soutien sur le site, et rien que ça, ça me fait du bien.

samedi 31 août 2013

Petit bilan sur moi même

Voici déjà quelques mois maintenant que j'ai quitté la clinique Lampre-Caussade en faveur du CMP de Tarbes. Aucun regret, au contraire, que du positif. Je me sens bien mieux dans ma peau en général, j'arrive à faire des choses nouvelles, et même mon quotidien est transformé. Je me sens plus à l'aise avec les gens et ne ressens plus du tout le besoin de "tricher" sur ce que je suis, ce que je pense ou ressens. J'ai vraiment le sentiment d'avoir fait un immense pas en avant.

Une des premières choses qui m'ont aidé, c'est mon agenda journalier. Un planning quotidien que je rédige, dont les tâches principales sont de ranger la cuisine ("RC"), matin, midi et soir et brosser mes dents ("BD"... riez pas... c'est dingue ce que c'est dur, vous pouvez pas savoir!). S'y ajoutent des tâches genre "étendre le linge", "repasser le linge", des indications simples ("travail" de telle heure à telle heure, c'est évident que je ne risque pas de "zapper").
On y trouve aussi des injonctions genre "ne pas gloutonner", "aller marcher", "prendre une douche" (gloups...). Et aussi une forme de journal en bas de page, avec un petit compte rendu des événements marquants de la journée, pour moi, pour mon mari ou autre.
 

Ensuite, le soutien de mon entourage, aussi. Que ce soit ma famille, mes rares amis, mes employeurs. La plupart des gens sont finalement très compréhensifs, et je m'efforce de leur rendre ce qu'ils me donnent en terme de confiance.

Je commence à me sentir vraiment bien, naturelle, avec les autres. Reste encore l'étape d'aller davantage vers eux, mais pas facile quand on est dans une situation d'aidant envers son conjoint. Mais tout en me disant que c'est dommage de "louper ça", et bien je me dis aussi que je veux profiter à fond de mon mari, de notre couple, de ces quelques moments merveilleux qui nous sont offerts. Pour le moment, c'est là que se situe mon leitmotiv. Et si je peux me trouver une activité sympa à coté, sans trop de "contraintes", ça sera avec plaisir.